C’est avec tristesse et émotion que j’ai appris ce midi le décès de Jacques Chirac pendant la commission permanente du Conseil Régional des Hauts-de-France.
J’ai toujours eu un profond respect pour ce « Père de la France ».
En 2002, alors que j’étais jeune maire, j’avais été l’un des rares élus du Montreuillois à soutenir sa candidature par ma signature, alors qu’il était en difficulté politique. Il me l’a bien rendu par la suite, puisque je considère que tout a changé pour moi à cette époque dans ma vie publique.
La France lui doit beaucoup puisqu’il a été précurseur dans les questions environnementales et qu’il a été l’instigateur du plan cancer qui perdure encore aujourd’hui et qui a sauvé de nombreuses vies.
Jamais je n’oublierai cette poignée de main chaleureuse, à de nombreuses reprises, remplie de sincérité, d’humanité mais aussi de grandeur.